[ -3 653 ] LE TRAITE DE CORUSCANT

En - 3 653, malgré leur supériorité militaire, le conseil noir prend conscience de son incapacité à avancer et du fait que le front recule. Ils propose donc la signature d'un traité de paix.

Le rendez-vous fut donné sur Alderande, où une délégation du Sénat Galactique, escortée par le Maître Jedi Dar'nala et le Chevalier Satele Shan, doivent rencontrer le Seigneur Baras.

Pendant que les délibérations se tiennent sur Alderande, monopolisant toutes les attentions, le piège des Sith se met en place: Un assaut surprise et destructeur est lancé sur Coruscant, prenant de court l'ensemble des institutions militaires de la République Galactique. Le sénat et le Temple Jedi furent les cibles principales du Seigneur Angral, commandant de l'opération d'invasion. La Flotte Sith était sorti de l'Hyperespace en orbite basse de la planète capitale et de nombreux vaisseaux s'écrasent volontairement sur les infrastructures stratégiques empêchant la République de réagir au débarquement des troupes.

La nouvelle de l'assaut arrive immédiatement jusqu'à Alderande, où les délibérations sont interrompues par la supplique du Chancelier Suprême à travers l'HoloNet, juste avant qu'il ne soit éliminé par les Sith. La trahison Sith mise au grand jour, Satele Shan active immédiatement son Sabrelaser et menace le Seigneur Baras. Cependant, celui-ci déconseille à l'assemblée de commettre des gestes qu'ils pourraient regretter amèrement, maintenant que les Sith contrôlent la capitale de la République.

L'Empire impose alors à la République un traité désavantageux (étrangement pour les deux camps), le traité de Coruscant.

La République doit notamment assurer un cessez-le-feu général en passant par le repli quasi total des forces mobilisées, y compris les membres de l'Ordre Jedi, en faction dans la Bordure Extérieure. Des Jedi sont envoyés sur place pour superviser le retrait des troupes, sous bonne escorte impériale, notamment par des droïdes impériaux chargés de rappeler aux Jedi leurs nouvelles limites fixées par le traité. Le retrait de la République est perçu de manière contrastée selon les systèmes concernés. Certains blâment le gouvernement multi-millénaire d'abandonner ses citoyens aux mains des Sith, tandis que d'autres refusent la reddition, à l'image de Balmorra, et deviennent des poches de résistance isolées.

Les Jedi doivent aussi quitter Coruscant, leur départ se fait sous les hués de la population.